Le plus grand mystère des écritures c’est que Dieu (l’unique) s’est manifesté dans la chair pour sauver l’homme, non pas de la colère du diable mais de sa propre colère, car après le péché originel, l’homme entra dans une inimitié devastatrice avec Yahweh. Puisque c’est Yahweh qui condamna l’homme suite à sa désobéissance, il ne pouvait être question que le salut de ce dernier ne vienne d’un autre être que Yahweh lui-même. À travers la loi et les prophètes, Yahweh a promis de venir lui-même nous sauver, c’est pourquoi Esaïe renferme tous les attributs de la divinité en Yehoshwah notre sauveur.

Un enfant nous est né, un fils (messie) nous est donné, on l’appellera (il est et sera révélé comme) El Shaddaï (Dieu puissant), prince de paix, Père (Abba) Éternel.

Esaïe 9 : 6

Ce qui fait la perfection de notre salut, ce n’est pas seulement parce que quelqu’un est mort pour nous, car dans l’histoire de l’humanité, plusieurs héros sont morts pour les autres. Ce qui fait la perfection et l’infaillibilité de notre salut, c’est la nature de celui qui s’est offert pour nous. Nous avons été rachetés par celui en qui habite corporellement la plénitude de la divinité.

Yehoshwah est Yahweh manifesté en chair. C’est cela que Paul appelle "le grand mystère de la piété" (1 Timothée 3 : 14 - 16) que la religion ignore encore aujourd’hui. Jean rajoute que "la parole (qui est Dieu) s’est faite chair afin que sa gloire soit contemplée (Jean 1 : 1, 14).

Yahweh est notre sauveur physiquement incarné en Yehoshwah, Voilà ce qui fait la perfection de notre salut. Si la croix n’a pas été suffisamment puissante pour renverser nos autels, ce ne sont pas nos œuvres religieuses qui le seront. Ce qui n’est pas acquis par la perfection de la croix ne sera acquis par aucun autre moyen.

Pour notre délivrance, le Père n’a voulu ni sacrifice, ni offrande, mais il s’est formé un corps de fils par lequel toute notre condamnation est résolu (Hébreux 10 : 5).

Si ce n’est pas résolu par la crucifixion du corps du Maschiach, ça ne sera résolu par aucun autre sacrifice.

Un seul autel à tout accompli : La croix de Yehoshwah Ha Maschiach.

Les gens ne périssent pas en enfer à cause de la gravité des actes qu’ils ont posé, car le sang de l’agneau est suffisamment puissant pour effacer les péchés de n’importe quelle nature. Les hommes périssent en enfer parce qu’ils ont rejeté la seule œuvre à travers laquelle notre juge a voulu vous justifier : "la croix". Il est écrit qu’il n’a voulu ni sacrifice, ni offrande, mais il a formé au Maschiach un corps d’incarnation pour votre rédemption (Hébreux 10 : 1 - 9)

Si vous rejetez et déconsiderez l’offrande du corps de Christ à la croix, votre condamnation éternelle est une garantie. Vous êtes un vase destiné à la colère. Ouvrez vos cœurs et laissez la justice de Christ vous être imputée, uniquement en vertu de son sang qui est notre seule voie de sortie quant au jugement imminent. Puisqu’il n’y a qu’un seul soleil qui préside le jour sur toute l’humanité et une seule lune qui éclaire la terre la nuit, Comment voulez-vous qu’il y ait plusieurs dieux pour chaque peuple et race ?

Sur toute l’humanité, un seul soleil est révélé, il s’agit de Yehoshwah Ha Maschiach quu est le soleil de justice.

Il est la lune qui éclaire les nations dans ces temps prophétiques de la nuit, car nous sommes à la dernière heure (1 Jean 2 : 18).

Il n’y a pas plusieurs lumières, il y a une seule lampe établie au sommet des nations. Jésus Christ est la lumière du monde. La croix est amplement suffisante pour que par elle seule Yahweh nous accorde miséricorde, faveur, grâce, exaucement...

Il ne s’agit pas de combien nos genoux sont devenus noirs, ni de nos jeûnes et sacrifices, encore moins du nombre des hommes de Dieu derrière qui on court...Il s’agit et il s’agira toujours de la croix. Le seul prix, le seul sacrifice, la seule oeuvre qui ramène l’attention favorable d’Elohim vers nous c’est la croix, car il n’a voulu ni sacrifice, ni holocauste (ni nos autels, ni aucun un quelconque autre prix), si ce n’est le sang de l’agneau sans tâche qui est l’unique prix de la miséricorde infinie de Yahweh sur nos vies.

Sortons de l’apologie de nos sacrifices et de nos oeuvres aussi pieuses soient-elles et retournons à l’évangile apostolique qui ne prône qu’une seule œuvre qui a convaincu Elohim "la croix".